Pour les futurs entrants dans le secteur des particuliers employeurs et de l’emploi à domicile ou les salariés en reconversion, le Conseil en Orientation et en Evolution Professionnelle Sectoriel (COEPS) a une mission d’orientation : il permet de définir un projet professionnel et de trouver le métier adapté. Pour ceux qui sont déjà dans le secteur, cet accompagnement personnalisé offre une perspective de montée en compétences afin d’être mieux intégré dans le métier, progresser, ou même se reconvertir. Mais ceux qui en parlent le mieux, ce sont les bénéficiaires : ils sont 1 300 depuis le lancement. Quelques-uns se sont confiés à nous.
Nadjet : le COEPS pour trouver sa voie
« Après avoir commencé des études de comptabilité et travaillé en grande surface, j’en ai eu marre, je ne me sentais pas à ma place. Je débute d’ici peu une formation pour devenir garde d’enfants et ce métier me plait. Il y a des enfants dans ma famille, j’aime m’occuper d’eux. C’est France Travail qui m’a orientée vers le COEPS d’IPERIA. J’ai été très bien informée, on m’a tout expliqué : le métier, les démarches. Ma conseillère est très disponible, elle a toujours des réponses à m’apporter et cela me rassure. Je sais ce que je vais faire demain. Je ne suis pas stressée par les mois de formation qui s’annoncent, je suis sereine et impatiente ». Ketty : le COEPS pour apprendre et se former
« Je suis assistante de vie auprès de personnes âgées depuis 12 ans, et pour rien au monde je ne changerais de métier ! J’y suis arrivée par hasard et j’ai eu énormément de chance : mon premier poste m’a fait aimer ce métier. J’ai voulu faire une VAE il y a quelques années mais ça demandait trop de temps. Lorsque l’expérimentation REVA a été mise en place, IPERIA m’a recontactée et tout s’est concrétisé en 2023, en 6 mois ! J’ai également suivi la certification pour accompagner les malades d’Alzheimer. Le COEPS m’aide à trouver la bonne formation, ma conseillère est très au courant et à l’écoute. Être formée, c’est pouvoir mettre les bons termes techniques, verbaliser ce qu’on fait, bien expliquer aux familles et aux employeurs. Cela cadre les choses et donne une posture, permet d’avoir un statut et une reconnaissance professionnels ». Valérie : le COEPS pour professionnaliser son activité
« J’exerce le métier d’assistante maternelle depuis 15 ans. J’ai fait une VAE à l’occasion de l’expérimentation REVA et ça a été le bonheur ! J’ai fait cette démarche après toutes ces années de pratique pour obtenir un titre, parce que j’avais envie de faire le point sur mes compétences, voir où je me situais, et c’est aussi, bien sûr, pour le bien des enfants que je garde. Avec le COEPS, je me suis sentie épaulée et écoutée. C’était important d’avoir une présence à mes côtés et de bons conseils. Il me manque un dernier bloc de compétences que je dois valider en décembre. Je suis confiante, ça devrait bien se passer ! ».Christophe : le COEPS pour concrétiser un projet de vie
« Cela fait près de 5 ans que je suis auxiliaire de vie auprès d’adultes handicapés. Je suis entré dans ce métier par le biais d’un ami handicapé, pendant le COVID, qui m’a présenté à une autre personne dépendante. Auparavant, j’ai fait des études de langue anglaise, j’ai travaillé 10 ans comme salarié de l’associatif, j’ai aussi suivi une formation en management des services de proximité durant laquelle les problématiques de la petite enfance, des personnes âgées et du handicap étaient abordées. J’ai le sentiment que toutes mes expériences passées sont des petits cailloux qui tracent une route vers le métier d’assistant de vie. Je vais donc débuter une VAE qui va matérialiser ces expériences avec l’aide de ma conseillère COEPS qui est un peu comme un co-pilote. La professionnalisation va m’apporter la reconnaissance, l’estime de moi-même. Cela va m’aider à me rendre compte de tout ce que je sais faire, à me valoriser. Je suis enthousiaste ! ».Sileseme : le COEPS pour s’intégrer
« Je suis Haïtien, réfugié en France depuis 2022 et je termine ma formation d’assistant de vie dépendance. En Haïti, j’ai eu un bac littéraire et une Licence de sciences juridiques. J’ai été chef de cuisine, puis j’ai cherché à devenir aide-soignant en arrivant en France. Pourquoi ? Pendant mes études en Haïti, je me suis occupé de ma grand-mère qui avait la maladie de Parkinson, ensuite, j’ai accompagné ma mère, atteinte d’un Alzheimer. En faisant des recherches, je me suis intéressé au métier d’assistant de vie, j’ai découvert le COEPS qui m’a permis de m’orienter vers le LabMigration. J’ai beaucoup appelé ma conseillère et elle m’a toujours répondu. C’était rassurant et motivant. Elle est très patiente et très à l’écoute. Maintenant, je suis prêt et j’ai hâte ! ».Le COEPS est ouvert à tous. Son succès confirme qu’accompagner les métiers et ceux qui les exercent est un immense pas en avant pour le secteur !
Vous voulez faire le point sur vos compétences ? Vous souhaitez évoluer mais vous ne savez pas vers quoi ni comment ? Vous êtes intéressés par l’un des trois titres à finalité professionnelle ? N’hésitez plus, nos conseillers sont à l’écoute et qualifiés pour vous guider sur le chemin de la réussite.
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